Seul, presque...[Libre]

Joël Chanvre était sortit de Claudius afin de prendre un peu d'air. Certes la protection de son roi lui était importante, mais son fidèle serviteur devait certainement veiller sur lui. Le gardien en avait donc profiter pour aller faire un tour. Il avait besoin d'air et certainement que le village serait un bon changement qu'une vue de château. Il s'était promené pendant quelques heures avant d'arriver à la place de la potence. Il ne manquait jamais aucunes condamnations, car son sadisme adorait voir des gens se faire pendre. Quoi de plus amusant d'ailleurs, surtout lorsque quelques-uns se mettaient à supplier ses bourreaux de le pardonner et de le relâcher. C'était la dernière volonté de presque toutes les victimes. Il arrivait même au gardien d'en rire. Ils étaient tellement pitoyables ainsi...

Joël s'assit sur un bloc de pierre et regarda autour de lui. C'était vers la fin de la journée, il ne faisait pas encore noir, mais il y avait peu de personnes à l'extérieur. Ce qui rendait la paix et la tranquilité de Joël très grande. Ses vêtements moulants et sombres auraient très bien pu le faire passer pour un simple rodeur des rues aux yeux des étrangers. Pourtant il était bien plus que ça, il était le gardien et le bouclier de son roi bien-aimé. Enfin, bien-aimé, pas l'amour, mais plutôt qu'il y tenait plus qu'à sa propre vie. Il pourrait mourrir pour lui. De toute manière, c'était pour cela qu'il était né, servir de bouclier à Akito. C'était son destin, sa vie.

Ses cheveux mauves étaient balayés par une douce brise qui arrivait du Nord, refroidissant les environs. Le gardien n'était pas un homme stressé, alors il ne surveillait pas ses arrières. De toute manière, étant un homme entraîné, son ouïe était habitué à surveiller le moindre bruit suspect qu'il pourrait y avoir autour de lui. D'ailleurs, ce fut ce sens qui l'avertit d'un bruit qui n'avait rien à voir avec les pas pressé des villageois. Ce pas était plutôt lent et régulier. Joël se tient à l'aguet, la main sur la garde de son arme. Qu'est-ce qu'une personne, qui ne semblait pas faire partir de ce village faisait dans les environs. Après tout, ce n'était pas une place très intéressante. C'était morne et face, sans grand' action, sauf peut-être lors des pendaison. Ce qui n'arrivait pas vraiment souvent.

Après mille et une suppliassions envers son cher maître du monde, Jin, l’esclave réussi à avoir la permission de sortir après une semaine de réflexion de ce dernier. Mais, elle serait surveillé de près par des gardes, car il n’était pas fou et savait que la Kana pouvait s’enfuir à tout moment, même qu’elle avait déjà essayer, et ses derniers temps, elle c’était résigner un peu, car elle avait fait beaucoup de tour dans la chambre de son maître et de la salle de torture pour des punitions pas petites, mais assez sévère. C’était soit une fessée sur les fesses avec une ceinture de cuir mouillé ou bien elle devait se promener nue dans le château, et c’était les plus petites conséquences en plus ! En cette soirée, elle allait sortir qu’un simple une heure pour prendre un peu l’air, ce qui lui ferait du bien et ce qui illuminerait un peu sa lanterne d’après le roi de Sadimus. Kanako prit le temps de se vêtir d’un vêtement assez chaud pour porter par dessus sa robe rouge faite d’un tissu spéciale dont le bas été légèrement troué ou bien arraché à quelques endroit dû au nombreuse tâches qu’elle pouvait exécuter. Elle prit aussi le temps de revêtir des bottes confortable et, accompagné de sa ‘’garde’’, elle quitta le château en direction du village. Ce n’était point elle qui voulait aller là, elle aurait, pour sa part, préférer aller près d’un point d’eau, mais ces derniers semblait tenir vraiment à aller vers le village, surtout vers ce qu’ils appelaient la potence. Innocente comme tout sur le monde dans lequel elle vie, Kana n’avait pas eu autre choix de les suivre sinon elle se perdait et n’imaginait pas les sentences qui seraient appliquer par la suite.

Après quelques minutes de marches, le trio arriva enfin ou la potence qui semblait déserte. La petite esclave prit une bonne respiration avant de soupirer et d’afficher pour les rares fois un léger sourire sur ses fines lèvres. Ses cheveux blonds virevoltaient par moment quand la brise de vent froid soufflait sur le village. Ce dernier ressemblait à une vraie fourmilière : les villageois couraient un peu partout tendis que les deux hommes devant elle et elle-même marchaient plutôt d’un pas lent. La jeune femme suivait à la trace les gardes qui, après un moment s’arrêtèrent. Beaucoup trop perdue dans ses pensées, elle fonça dans un garde qui se retourna et lui prit violemment le poignet, la faisant légèrement gémir de douleur et de surprise. Son regard azur se leva brusquement sur le garde : les yeux de l’homme lui disait qu’elle devait faire quelques choses pour se faire pardonner sinon il le dirait au maître Jin. Et Kanako le savait parfaitement qu’il rajouterait beaucoup de détails et que ce dernier ne croirait point les paroles de la jeune femme. Doucement, elle dégagea son poignet sans trop de problème et exécuta une courbette avant de prononcer les quelques mots :

« Pardonnez moi de ma maladresse sir, je ne suis qu’une stupide enfant. »

Enfin, ce dernier sourie machinalement et se retourna, continuant sa marche avec son autre copain de garde. Avant de se mettre à leur suite, Kana soupira un peu et baissa la tête avant de continuer sa route. Ce ne fut bien long, quelques pas encore, puis, ces derniers lui ordonnèrent de s’asseoir là et de ne point bouger jusqu’à leu retour. En fait, très proche de là, il y avait un bar et ses derniers voulaient aller se rafraîchir, ils la surveilleraient de la fenêtre. L’esclave s’exécuta et pur remarquer un jeune homme à la chevelure violette. Elle le regarda du coin de l’œil avant de jeter un regard sur les gardes qui s’éloignaient tout en la regardant comme si elle serait une pauvre proie sans défense. Au moins, assise ici, elle pourrait profiter un peu de son moment de liberté.

Si Joël ne les avait pas regarder, il n'avait rien perdu de l'échange. Tiens tiens, peut-être pourrait-il s'amuser. Il regarda les gardes entrer dans l'auberge...Dommage, il ne pourrait peut-être pas s'amuser aujourd'hui, surtout que ces gens semblaient venir tout droit de Sadimus, quelle ironie. Puis, il fallut quelques instants de silence pour qu'il sente enfin une autre présence à ses côtés. Lorsqu'il tourna la tête, ce fut pour voir une jeune femme, de rouge vêtu, qui semblait...dépassée. Elle était certainement arrivé avec les gardes, mais il ne s'était pas rendu compte que ces derniers l'avaient assise à ses côtés. Elle ressemblait beaucoup à l'esclave d'Akito, enfn, côté regard. Il en déduit donc qu'elle ne devait pas avoir meilleur rang. Ce cher Jin. Joël avait eu la grande chance de le rencontrer plusieurs fois, étant de toute manière libre de ses choix. Il se promenait de Cladius à Sadimus sans se soucier des rumeurs qui pouvaient bien courrir. De toute façon Akito le croyait lui et non un quelconque paysan qui oserait lui dire qu'il allait de temps à autre à Sadimus.

Il retourna son attention vers la jeune femme qu'il examina plus en profondeurs. Pas avec l'oeil d'un perver, mais juste pour savoir à qui il avait à faire. Elle semblait plutôt fragile et soumise. Mais ne dit-on pas: les apparences sont parfois trompeuses. Il se demandait s'il avait le droit de lui parler. Au pire, il serait confronté aux gardes. Ce qui ne le dérangeait aucunement, au contraire, cela l'amuserai au plus haut point. Son regard froid, d'une couleur que l'on ne pouvait définir, se planta dans celui de Kana. Il ne voulait aps lui faire peur, mais de toute façon, il était certain qu'elle avait déjà vu bien pire. Après tout, c'était certainement quelqu'un de bas rang dans l'entourage du roi. Ne sait-on jamais...

"Que font des Sadimusiens aussi loin de leur demeure de parias?"

Fit le gardien le plus froidement que la gorge humaine le permettait. D'accord, comme début de conversation, ça s'annonçait mal, mais Joël était ainsi et personne ne pourrait le changer. Il regardait toujours Kana, attendant une réponse. À moins bien sur que l'esclave n,ai aps de langue, ou bien qu'elle n'ai pas le droit de parler. Un sourire sadique et moqueur élargit les lèvres du gardien à cette pensé. Il n'y avait pas grand monde qui aimait bavarder avec le protecteur d'Akito, mais il s'en fichait. Que le monde pense ce qu'il veut, lui vivait et c'est tout. Sa vie n'avait aucuns buts, sauf celui de protéger le Roi. Point final, aussi simple que ça.

Les gardes que lui avait « prêter » Jin avait maintenant disparut dans le bar, Kana allait dérivée son regard de l’auberge et pu entrevoir un gardien ce poster devant la fenêtre pour la surveiller à ce point. Pourquoi est-ce que Jin ne voulait pas la laisser partir ? Elle n’était qu’une esclave et il ne perdrait pas quelques choses de gros après tout. Il y avait encore Clara, la chère prostituée qui lui donnait bien plus de plaisir, à moins que son vrai c’était de voir souffrir le martyr une jeune femme quand ce dernier lui donnait des ordres. Kana se résigna à y penser, sachant que son maître était bien trop complexe pour qu’elle puisse savoir quoi que se soit. L’esclave tourna la tête vers la potence. Cette dernière ce demandait bien à quoi pouvait servir cette corde au bout du morceau de bois. C’est alors qu’elle croisa le regard de l’homme qui était assis à quelques mètres d’elle. Son regard de glace lui donna des frisson dans le dos, mais, elle su soutenir son regard, car, elle avait su avec les années à faire la même chose avec le roi des Sadimus. Et son regard, il était perçant, froid, sadique, on pouvait voir les flammes de l’enfer danser à l’intérieur. Son regard bleu continua de le fixer et elle eu un moment de distraction à cause d’un bruit de porte mais son attention revint aussitôt à l’inconnu qui lui adressa la parole une parole froide qui ne lui fit aucune émotion. Il semblait un expert pour reconnaître ceux qui venait de Sadimus et ceux des deux autres clamps, à moins que ce soit un habitant du village et qu’il soit juste habituer à voir les gens qui y habitent. Kana allait ouvrir la bouche mais avant qu’une parole sorte de sa bouche, elle tourna la tête vers l’auberge et pu constater que le garde la regardait toujours. Elle se retourna pour fixer la potence et fit semblant de se gratter la joue que pouvait voir le garde pour essayer de cacher sa bouche des paroles qu’elle allait dire.

« Je ne sais point, ils m’ont emmenés ici, sûrement pour boire quelques choses. Mais je suis bien heureuse d’être assise là en ce moment malgré le froid et ma surveillance assez élever. »

Sa main cessa ses geste répétitif sur sa joue et elle regarda le garde qui semblait avoir absolument rien comprit de ce qu’elle venait de prononcé, tant mieux. Il aurait pu penser qu’elle donnait des informations à propos de Jin ou autre chose. Kanako regarda de nouveau l’homme du coin de l’œil et pu apercevoir un sourire sadique et moqueur sur ses lèvres.

Joël remarqua pourquoi cette jeune femme faisait autant de simagré. Il regarda le garde d'un mauvais oeil. Son regard de glasse évaluait de loin l'homme qui se trouvait à la fenêtre. Partie interessant pour un homme qui a soif de sang. Lui par contre, il n'allait pas cacher qu'il parlait à la jeune femme, et si cela piquait la colère des gardes, il n'en ferait qu'une bouché. Il retourna son attention vers la jeune femme, qui semblait bien intéresser par la potence. Étrange. Savait-elle au moins ce que c'était. Enfin, il verrait cela plus tard.

"Je me demande bien pourquoi une femme certainement esclave, ou pire, serait accompagnée de deux gardes alors que Jin se fiche certainement de votre survie."

C'était assez sec et cru, mais c'était lui: Joël Chanvre, gardien et bouclier d'Akito Kun, roi de Cladius. Tout un titre pour un homme, mais sérieusement il s'en fichait. Il retourna son regard vers le garde et toucha la garde de son arme, comme s'il le défiait. Il regarda ensuite la potence, puis la jeune femme. Il réfléchit quelques instants avant de dire, de sa voix toujours aussi froide et dépourvu de compassion:

"Vous semblez attirée par la potence. Seriez-vous à ce point désespérée pour vouloir vous enlever la vie?"

Demanda-t-il avec une indifférence bien marqué. Il se fichait carrément de tout et cela se voyait dans son regard. Pourtant, Joël souffrait d'une seule et unique chose, bien que c'était surtout de sa faute, la solitude. Et oui, le seul homme qui était souvent avec lui, c'était Akito, son roi, son protégé. Il retourna son regard vers le garde, se demandant bien pourquoi la jeune femme était surveillée si étroitement.

« Ma survie ? Maître Jin semble totalement tenir à me garder à ses côtés. » Dit-elle franchement en le regardant dans les yeux avec franchise, elle avait complètement oublier les gardes. « J’ai tentée plusieurs fois, au château de m’enfuir mais je me fait toujours avoir par un garde ou par Jin lui-même. Je suis comme un jouet pour lui et il semble affectionner le fait de me voir souffrir sous toutes les choses qu’il me fait faire ou qu’il me fait. »

Kanako soupira un moment en baissant la tête. En fait, d’après, elle était comme un jouet dont un enfant ne veut se défaire. C’était peut-être le cas avec Jin, ou bien il y avait autre chose qu’elle ne pouvait ou plutôt, ne pourrait jamais. Kana jeta un regard aux gardes qui semblaient savoir qu’elle conversait avec cette homme au habits noir, mais ils semblaient drôlement pas s’inquiéter, enfin, l’un deux semblait regarder avec intérêt l’homme. Elle pouvait voir leurs lèvres bouger, mais elle ne pouvait pas lire sur les lèvres à la distance où elle était car elle l’aurait fait volontiers. Puis, sans trop d’inquiétude, elle se retourna vers l’inconnu.

« Pourquoi fixer vous ces hommes ? Est-ce le fait de vouloir tout simplement avoir le goût de sang ? »

Elle était tellement habituer à Jin qu’elle pensait que tout les hommes qui possédaient une armes c’était pour goûter le sang sur leur lèvres ou bien par pur plaisir de voir quelques tomber au sol en gémissant de douleur.

"Encore un jouet sexuel. Les gens ne pensent plus qu'à cela aujourd'hui, c'est pitoyable."

Il avait le regard fixer sur le garde et fit un geste, plutôt vexant vers ce dernier. Il eu ensuite un sourire si sadique que des passants se dépêchèrent de partirent loin de lui. Il était un peu connu ici, et n'avait pas très bonne réputation, sauf sa loyauté envers Akito. Il toucha son épée de sa main. Il voulait de l'action et si pour cela il devait tuer deux gardes de Sadimus, et bien il le ferait. Après tout, il voulait simplement s'amuser et ces gardes là tombaient à un moment propice. Que de l'amusement en perspective.

"Moi je déteste tous les hommes appartenant à Sadimus, en fait, je n'aime pas beaucoup de personnes et peu de personnes ne m'aiment, alors je vais m'habituer."

Il retourna immédiatement son regard vers le garde et le regardait toujours d'un air sufisant et provoquant. Il voulait vraiment une bagarre, mais le pire, c'était qu'il était toujours ainsi. Il haussa finalement les épaules et retourna son attention vers la jeune femme.

"Mais bon...Pourrais-je savoir votre nom?"

(Désolé pour la longueur)

Kana se fichait un peu de ce qu’elle était pour Jin à part être une esclave. Mais en y pensant comme il faut, esclave voulait tout dire : servante, jouet, prisonnière … encore bien d’autre que de la jeune femme passait. Elle pu remarquer que le jeune homme regardait encore les gardes : il voulait vraiment les battre, et à les connaître un peu, son souhait serrait sûrement exaucer car après le geste que ce dernier avait jeter au Sadimusiens, ils allaient sûrement sortir de leur trou. Kanako se retourna et ne trouva aucun garde à la fenêtre. Elle arqua légèrement un sourcil puis dirigea son regarde nouveau vers le claudiusien. En fait, s’il devait détester autant ceux qui venait de l’autre camp, c’était sûrement à cause qu’il était chez les Claudius.

« Je me prénomme Kanako, mais mon maître me surnomme Kana car il trouve que le ‘ko’ de la fin est de trop. » lui dit elle en attendant la porte de l’auberge claquer derrière elle. Elle pu aussi percevoir quelques pas lourd. L’esclave se retourna légèrement et pu apercevoir les deux gardes avec leurs armes en main. L’un deux faisait légèrement tourner son épée dans sa main et il avait un sourire sadique et de vermine pur sur le visage. Quand il furent assez proche, l’un deux tira la jeune femme par l’arrière. Elle n’eu aucune réaction, sauf un peu de suffocation car le collet de sa robe l’égorgeait légèrement mais elle fut libéré presque en un rien de temps. Elle pu apercevoir l’autre garde, un homme avec une bonne musculature prendre par le collet l’homme qui avait oser lui faire un geste vulgaire. Il lui cracha en pleine face :

« T’es mieux de ranger tes gestes de mains vulgaires et se sourire car j’vais le faire à ta place et d’une manière pas jolie ptit goss. »

On pouvait voir que ce dernier était réellement irrité par ce petit voyou.

[ Si tu veux, tu peux contrôler les gardes et les faire un peu jouer, parce que moi pour décrire les combats, pas forte. T_T ]

(D'acco^^)

Joël avait eu se qu'il voulait, les gardes étaient sortis. Avant même qu'ils arrivent, il eu un sourire sadique vers Kana et dit simplement ceci.

"Enchanté, Joël Chanvre."

Il s'était présenté en même temps que d'avoir dit la parole normale de politesse. Il se fit prendre par le collet et écouta avec ennui les menaces du gardes. Se que ce dernier avait oublié, c'était que ses mains étaient libres. Quand le garde vit qu'il allait prendre son épée, il se recula et le lacha. Joël eu un sourire sadique.

"Alors, par qui je commence."

(Je ne dérirais pas tout le combat...)

À la fin du combat, les deux gardes étaient par terre et Joël était essouflé, couvert de sueur. Ce dernier eu un sourire sadique et triomphant. Les gardes n'étaient pas blessés, juste carrément assomés pour un bon bout de temps. Il se rassit brutalement sur le bloc de pierre et invita Kana à faire de même.

"Ainsi vous pourrez parler en toute liberté."

Son ton n'avait pas changé d'une semelle, mais il semblait moins arrogant. Pourtant, il était toujours aussi indifférent à elle et surtout aux gens qui le regardaient méfiants et réprobateurs. Mais Joël lui s'en fichait, il avait eu se qu'il voulait et il était bien content ainsi.

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