Livraison

Que d’escaliers, que de couloirs…Bon Dieu, que ce château était grand ! Alice avait bien failli se perdre…Ils pourraient faire un plan quand même. Heureusement que les serviteurs qui traînaient dans les couloirs lui avaient indiqué son chemin…Et puis toutes ces marches, ça fatigue. Mais elle avait quand même finir par arriver à la chambre de Jin…
Mais que venait faire Alice en ces lieux ? En fait, c’était à cause de Mr le conseiller financier (lol). Elle revenait tout juste d’une mission que Jin lui avait confié, à savoir tuer quelqu’un (qui il était, elle l’ignorait) et récupérer un petit coffret. Bien sûr, elle ne l’avait pas ouvert.
Elle voulait donner le coffret au conseiller pour qu’il l’apporte au Roi, mais elle le trouva fort occupé avec une demoiselle. Elle décida donc, peu confiante envers le personnel, d’apporter le colis en main propre.
Alice portait encore ses vêtements pour l’assassinat. Un pantalon et un mini haut, le tout en cuir, pour ne pas gêner ses mouvements. Le petit coffret en main, elle regarda un moment la porte, se demandant si elle pouvait se permettre de le déranger. Boarf, elle venait lui annoncer une bonne nouvelle quand même….
Elle frappa donc à la porte et attendit bien sagement qu’elle s’ouvre, droite et impassible.

Le roi avait plongé son esprit dans un livre érotique. Mais malgré l’intérêt de cet ouvrage, cela ne l’avait pas intéressé plus de quelques instants avant qu’il ne le jète au pied de la bibliothèque. Il s’était donc levé, vêtu d’un simple pantalon, les cheveux un peu en bataille, après une nuit mouvementée avec Carla. Cette dernière avait su montrer un surcroît d’énergie pour combler son seigneur. Il faut dire que dans son domaine, elle n’a guère de concurrente, même si elle n’est pas la seule amante du roi. Elle est et de loin, sa favorite. Le jeune homme blond regarde la Lune en soupirant, même un roi ne peut s’approprier les astres.

Il avait envoyé Alice pour se débarrasser d’un gêneur, quelqu’un qui commençait sérieusement à s’intéresser de trop près au roi et cela irrite ce dernier au plus haut point. Comment un misérable laquais avait-il eut l’audace de s’intéresser au passé de son seigneur ? Il doit être désormais un bon exemple pour tous ceux qui voudraient faire de même. En entendant toqué à la porte, le roi se décide à aller ouvrir.

La porte ouverte, il vit Alice son assassin personnelle sur le seuil de la porte.

"-Je t’en prie entre et installe toi."

Bien sûr et comme à son habitude, il n’avait pas manqué de la détailler du regard.

Le Roi en tenue indécente. Alice se dit que ça valait le coup de monter tous les escaliers du château pour voir une scène aussi ironique. Le Roi, élu par Dieu…Des foutaises, oui !
Elle s’inclina légèrement pour le saluer, et entra à sa demande, toujours impassible, faisant preuve de professionnalisme. Apparement, Jin venait de passer une nuit trèèèèès mouvementé…
Alice sentit le regard du Roi sur elle. Avait-il l’intention de… ? Arf, quelle nulle, elle aurait du s’en douter…Mais trop tard pour faire marche arrière, elle n’avait plus qu’à essayer d’esquiver.

" Je ne fais que passer. C’était juste pour vous apporter ce que vous m’avez demandé. "

Peut-être qu’il allait se décourager après ces paroles. Sinon, tant pis, il faudra en assumer les conséquences. Après avoir vaguement examiné la pièce, elle se retourna pour être face au Roi.
Elle tendit le petit coffret, regardant son souverain dans les yeux. Aucune émotion n’était visible sur son visage.

" Est-ce bien cela que vous cherchez ? "

Alice espérait que oui, parce qu’elle avait la flemme de retourner là bas pour fouiller une maison entière. Mais le coffret correspondait à la description que lui avait fait Jin, donc…

Jin laisse la jeune femme rentrer et ferme la porte derrière elle en la verrouillant. Elle se doutait sûrement de ce qu’avait voulu son regard appuyé.

"-Parfait, tu ne faillis pas à ta réputation et c’est tant mieux dans ton intérêt financier et vital."

Il la regarde examiner les lieux. Et après qu’elle se soit retourner et lui ait tendu le coffret, il s’empare de ce dernier.

"-Oui c’est cela."

Le roi l’ouvrir en se tenant près d’une cheminée de marbre et l’ouverture du coffret tournée vers les flammes. En ouvrant le coffret, un sifflement se fit entendre.

"-Un lanceur de dard empoisonné. La vermine avait même prévu cela."

Après avoir pris des papiers à l’intérieur de ce coffret, Jin jète ce dernier au feu et examine les papiers avec intérêts.

"-Hum ! Parfait !"

Après les avoir bien feuilletés, il les jète tous au feu sauf un qu’il pose sur la cheminée. Il se tourne vers Alice.

"-Ceci est la liste de tes prochaines victimes."

Il s’approche d’elle.

"-Mais en attendant."

Le roi se poste derrière l’assassin et commence à promener ses mains sur son mini haut et sur son pantalon à hauteur de son entrejambe.

"-Un peu de réconfort après le travail."

Bien cela n’était pas une proposition, mais un ordre dissimulé à la jeune femme et le roi se faisait clairement comprendre sur ses intentions. Et malgré la bonne nouvelle apportée, il ne saurait tolérer un refus.

Alice se raidit en entendent le cliquetis du verrou de la porte. Elle ne s’était pas trompée. Dans quel pétrin elle s’était fourrée !
Sa réputation ? L’homme que le roi lui avait demandé de tuer était un imbécile, il n’y avait aucune fierté à tuer ça ! Enfin bon, si le roi était satisfait, tant mieux.

Jin prit le coffret. Selon lui, c’était le bon. Alice regarda le roi l’ouvrir. Un dard empoisonné ? Heureusement qu’il avait prévu le piège, car s’il était mort, ça serait pour sa pomme…La jeune fille s’attendait à voir un objet de grande valeur dans le coffret, mais il n’y avait que des papiers…Très importants, à première vue. Mais seul un ne fut pas détruit. Alice s’en désintéressa, ça n’était pas ses affaires…Mais elle su quand même ce que c’était.

Nouvelle liste de victimes ? Ok, pas de problèmes. Mais le fait qu’il la laisse sur la cheminée au lieu de la lui donner la fit reculer d’un petit pas, à peine perspectible. Mais elle s’arrêta, se disant que ça serait mal vu…Le roi était la seule personne à laquelle elle n’osait pas désobéir ou manquer de respect. Elle savait très bien qu’il avait les moyens de l’anéantir…

Alice laissa donc le roi s’approcher d’elle, se positionner derrière elle et toucher son corps. Elle fut quand même légèrement agacée. Le roi n’avait-il pas assez de putains pour faire se travail ? Pourquoi il la voulait ? C’est dans ces moments là qu’elle aurait aimé être laide.

Dans le ton de sa voix, elle comprit qu’un refus n’était guère possible. Elle était prise au piège. Il fallait maintenant qu’elle lui accorde ce qu’il veut pour retrouver sa liberté.

" J’en serais ravie. " dit-elle simplement.

Les caresses commençaient à lui donner des frissons. Oui, Alice était imperturbable, mais on ne peut lutter contre l’instinct…

Certes le roi a beaucoup de prostitués à son service, surtout sa favorite Carla. Il a aussi Kana, son jouet favori, son petit pion, son souffre-douleur et la cible préféré de son sadisme et de ses colères froides. Et bien d’autres femmes encore. Mais au-delà d’être un roi, c’est un homme et au-delà de cet homme, c’est une bête, un prédateur pour qui toute femme est potentiellement une proie, un objet de désir. Cela ne représente guère un défi en soit pour un être à qui personne n’ose refuser quoique ce soit. Il aime voir comment les gens réagissent pour refuser quelque chose au roi, mais cela ne dure guère longtemps avant une punition qui vient toujours.

"-Tu m’en vois comblé."

Tous deux savent à quel point ses phrases sont vides de ce sens, car aucun des deux ne pensait complètement ce qu’il a dit. Il sentit la jeune femme frissonner. Derrière son masque de glace, cette dernière commence à sentir monter une envie de plaisir. Les mouvements du roi sont ceux d’un serpent, précis, lents, parfaitement calculés, mais donnés sans aucunes émotions. Les mains se glissent sous les vêtements de cuir. L’une d’elle passe sous le mini haut et glisse lentement sur la peau de la poitrine. Tandis que l’autre glisse à l’intérieur du pantalon et caresse doucement l’entrecuisse de l’assassin.

"-N’hésite pas à participer un peu, les amantes passives ne présentent guère d’intérêts."

Sans aucune gêne, il caresse doucement l’intimité d’Alice.

"-Je saurais te récompenser en conséquence si cela insulte ta fierté."

Jin dépose un baiser froid dans le cou de la jeune femme.

Alice n’aimait pas se faire manipuler ainsi. Elle aurait bien eut son mot à dire si sa position le lui permettait. C’était une fille très fière. Et la perspective d’être obligée de faire l’amour avec un roi ne la réjouissait pas. D’autant plus qu’il n’avait même pas prit la peine de lui demander son avis ! Mais c’était un roi, il ne ressentait donc pas le besoin de le faire.

Le problème n’était pas dans l’acte en lui-même. Ce n’était pas la première fois qu’Alice avait des rapports sexuels. D’ailleurs, elle n’accordait aucune importance à sa pureté. Lors de ses missions, elle donnait parfois son corps pour obtenir des informations précieuses. La seule chose qu’elle regrettait, c’était que les bons coups étaient rares.

Mais avec Jin, c’était la première fois. Avec toute les filles qu’il se tapait chaque jours, il devait être bien entraîné…Mais elle espérait que tout cela resterait occasionnel…Les parties de jambes en l’air, c’était bien, mais ce n’était pas son travail. Et pour l’assassin, le fait de tuer procurait autant de plaisir.

L’assassin hésita. Elle avait le choix entre se montrer particulièrement minable au sexe pour que le roi ne la rappelle pas, ou au contraire, donner du sien pour faire plaisir à son souverain. Cruel dilemme.
Après quelques secondes d’hésitations, elle consentit à faire plaisir à Jin. Après tout, il avait décidé de lui faire confiance quand elle avait voulu se mettre à son service, elle avait tout ce qu’elle voulait grâce à lui, elle pouvait tuer qui elle voulait en étant sous sa protection. Elle lui devait bien ça. Et puis le sexe, c’était pour se faire plaisir, non ? Alors pourquoi s’en priver ?

Et ce plaisir, elle commençait à le sentir. Le roi caressait les zones les plus érogènes de son corps, elle avait bien du mal à rester imperturbable. Elle sentit la ma chaude de Jin sur sa poitrine, dont la peau si froide commençait à se réchauffer. Son cœur accélera le rythme sous la main du souverain. L’assassin essayait vainement de calmer son souffle. L’autre main, qui se trouvait dans son pantalon, lui faisait perdre le contrôle de son corps. Les gestes du roi étaient incroyablement experts. Alice se dit que, finalement, elle allait pouvoir en tirer quelque chose.

Elle hésita encore sur la manière de se comporter. Devait-elle le laisser tout faire, ou participer ? Elle ne savait pas si elle en avait le droit…Heureusement, dans un élan de bonté (XD), le roi lui donna les règles du jeu. Il lui proposait même une récompense. De quoi cela pouvait-il s’agir ? D’argent ? Alice en avait tellement qu’elle ne savait plus quoi en faire…Jin déposa un baiser dans le cou de la jeune fille qui frissonna de plus belle. Elle sentit qu’il n’y avait aucune émotion dans ses gestes, aussi doux soient-ils. Tous les deux avaient décidés de se mentir.

Alice écarta légèrement les jambes, signe qu’elle ne résistait plus. De ses doigts fins qui faisaient penser à ceux d’un pianiste (ou à ceux d’un étrangleur), elle tira la cordelette qui serrait son haut, le défit, et l’enleva avec lenteur, histoire de laisser le roi se languir ^^. Sa poitrine recouverte de la main du seigneur se découvrit. Elle colla son corps à celui de Jin, qui était toujours derrière elle. Une des mains de la jeune fille rejoignit celle de Jin qui était dans son pantalon. Son autre main descendit jusqu’au pantalon du seigneur pour commencer à en défaire les boutons…

Certes le roi savait qu’Alice n’apprécie guère de se voir traiter de la sorte sans la demande de son avis. Mais Jin n’est pas homme à demander l’avis de quiconque quand il désire faire quelque chose. Son assassin personnelle n’est pas une prostituée et il n’est pas dans son contrat de coucher avec son client, mais faire un petit extra pour le roi n’entravera pas son travail pour ce dernier.

Sous ses mains, la peau froide se réchauffe peu à peu. L’expérience que Jin a acquise au cours des années dans ce genre de pratique porte souvent ses fruits et c’est le cas en ce moment. Il sentit même le cœur d’Alice s’accélérer et la respiration de cette dernière se faire plus rapide également, peut-être n’avait-elle pas ressenti de plaisir depuis un moment. Le jeune homme sentit les frissons d’Alice sous le baiser qu’il lui avait déposé dans le cou.

Malgré son hésitation, le souverain sent qu’Alice se décide à participer un peu plus. Alors qu’Alice écarte les jambes, le roi fait glisser deux doigts dans son sexe et en caresse doucement l’intérieur. Il sentit le mini-haut partir et libérer la poitrine de l’assassin. Le jeune homme laisse le corps d’Alice se coller au sien. Il fait onduler ce dernier tel un serpent. Quittant, un instant la poitrine d’Alice, il aide cette dernière à défaire son pantalon et pose la main, qu’elle avait utilisée, sur sa virilité. Sa main revient sur la poitrine dont il s’amuse à caresser les extrémités. Lorsque l’assassin pose une main sur celle du souverain présente dans son pantalon, cette dernière enfonce plus profondément ses doigts en elle, attendant que son bouton d’amour se décide à s’ériger.

Alice ne s’était pas attendue à tant de douceur de la part de son suzerain. Elle avait entendue des rumeurs comme quoi il traitait ses prostituées comme des sado-masochistes. Mais d’un côté, son rang était bien plus élevé que le leur, normal que le roi la respecte un minimum…Et de toute façon, roi ou pas, celui qui la frapperait allait le regretter amèrement ! Elle était Alice Meister, disciple de Samaël le grand maître de l’assassinat. Elle voulait bien satisfaire le roi, mais il y avait des limites.

Donc comme je le disais, Alice était agréablement surprise. Pour le moment, le roi se montrait très doux avec elle. Pourvu que ça dure. Son orgueil ne tolèrerait pas une humiliation pareille.
Alice sentit les doigts de Jin entrer à l’intérieur d’elle. C’était un peu gênant pour elle, mais tout de même très agréable. Le roi fit onduler le corps souple de la jeune fille de manière sensuelle, ce qui avait pour effet de rendre les caresses encore plus agréables. Il l’aida ensuite à déboutonner son pantalon (il avait l’air pressé XD), puis posa sa main d’Alice sur sa virilité. La jeune fille se chargea de caresser gentiment le sexe de Jin, histoire de réveiller la bête endormie XD.

Quant à son autre main, elle s’activait ailleurs, avec celle de Jin. Le roi entra encore plus profondément encore et Alice se cabra légèrement, malgré elle. Son souffle devenait de plus en plus saccader. Le plaisir montait de plus en plus, et elle commençait à mouiller.

Le roi sentit qu’Alice caresse doucement sa virilité. Ce qui a pour effet, non pas de le faire sourire, mais de chauffer et de faire dresser son sexe. Il fait alors de lents mouvements d’avant en arrière dans la main d’Alice. Il retourne cette dernière et l’embrasse fougueusement sur les lèvres, s’amusant à caresser la langue de l’assassin avec la sienne. Les lèvres du souverain se retirèrent rapidement et elles s’amusèrent sucer les seins d’Alice. Tandis que la langue les lèche avec avidité.

Il sent que la jeune femme commence sérieusement à éprouver du plaisir. Jin l’allonge alors sur lit et se positionne au-dessus d’elle. Il lèche doucement l’intimité de l’assassin et plonge sa langue à l’intérieur. La langue passe doucement sur les parois du sexe et sur le clitoris érigé. Le jeune homme suçote ce dernier avec plaisir. Le roi se délecte de ce qui coule de l’intimité de la jeune femme.

Pendant ce temps, il descend sa virilité sur les lèvres d’Alice, afin d’occuper un peu la bouche de cette dernière.

"-Voyons si tu es aussi bonne au lit que ton corps est joli, Alice."

Ce compliment déguisé est une manière pour le roi de demander ou plutôt d’ordonner à l’assassin de s’amuser un peu avec sa virilité. Il n’est pas nécessaire de préciser que tout morsure est puni avec une sévérité et un sadisme soutenu et agréablement apprécié.

Alice sentit la virilité royale se dresser à mesure qu'elle la touchait. Un baiser fougueux s'en suivit. Les lèvres d'Alice étaient douces et sucrées, sa langue avait un goût de bonbon (même si ça existait pas l'époque :p). Alice trouvait généralement les baisers très agréables généralement, enfin cela dépend de la personne bien entendu. Mais elle ne pensait pas que son seigneur irait jusqu'à l'embrasser. Peu de gens l'embrassaient pendant l'acte, en dehors du flirt, comme c'est généralement un acte plein de sentiments.
Décidément, le roi était vraiment un homme sans scrupules.

Mais Jin quitta bien vite ses lèvres pour lècher sa poitrine, dont les tétons commençaient à durcirs. Elle se contenta de lui caresser doucement les cheveux et de sentir le plaisir monter, monter...Son coeur battait tellement vite...Et ils n'en étaient qu'au début.

Jin dût le comprendre. Il allongea Alice sur le lit et se délecta de son intimité, ainsi que de la cyprine qui s'en échappait. La jeune fille s'accrochait aux draps en poussant des petits gémissements malgré elle.

Elle entendit le roi lui 'ordonner' de lui faire une fellation. C'était pas la chose qu'elle préferait faire...Dieu sait où son machin a traîné Oo. Mais il lui faisait bien plaisir, elle devait le faire aussi. Elle prit doucement l'engin d'une main et commença à lui lècher doucement le gland, puis elle mit le pénis dans sa bouche en faisant des va-et-vient réguliers, en lui caressant les bourses de temps en temps. Elle était très attentive sur les gestes que préférait Jin. Si elle sentait que l'excitation, elle se montrait encore plus vigoureuse dans sa fellation.

La surprise de son amante n’étonna guère le roi. Certes peu d’hommes embrassent pendant une étreinte sans sentiment, mais Jin le fait toujours que ce soit avec Carla ou même à Kana et même avec n’importe laquelle des femmes avec qui il couche. Il trouve cela fort délectable et plaisant. Les lèvres de la jeune femme ont un goût sucré, chose que le souverain apprécie comme une friandise. Alice ne pouvait guère masquer son plaisir au roi. Le durcissement des tétons de la jeune femme et les rapides battements de son cœur trahissent le plaisir qu’elle ressent et que Jin se plaît à attiser.

Les gémissements d’Alice sont parvenus aux oreilles de son royal, qui les apprécient intérieurement à leur juste valeur. Il en est de même pour le nectar qu’elle laisse échapper entre ses cuisses. Le roi sent que la jeune femme lui obéit. Il sent sa main sur sa virilité, sa langue passé sur le bout de celle-ci. Jin émet des cris rauques en sentant les lèvres aller et venir sur son sexe et les caresses sur ses bourses. Le pénis de Jin s’allonge un peu plus et s’échauffe encore. Le roi bouge son bassin pour inciter Alice à prendre complètement sa virilité dans sa bouche.

Plus la langue passe sur l’intimité de la jeune femme et plus celle-ci échapper un flot de cyprine que Jin ne cesse d’apprécier avec gourmandise. Pour accentuer ce flot, il attrape le clitoris d’Alice et le suçote avec envie. Tandis que trois doigts pénètre doucement son intimité et en caresse l’intérieure.